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Quand on est en bonne santé, il ne sert à rien d’aller tous les ans chez le médecin.

OU

Passé un certain âge, faire de la prévention n’est plus vraiment nécessaire : c’est certainement trop tard.

OU

Mon médecin traitant a raison de me peser à chaque consultation.

OU

En vieillissant, je dors moins et moins bien : il me faut sûrement des somnifères.

OU

Un bilan sanguin tous les ans est un bon rythme pour les personnes qui vieillissement.

OU

Conseiller de l’exercice physique aux personnes, même très âgées, est important.

OU

Prendre des médicaments sans avoir consulté de professionnel de santé n’est pas dangereux.

OU

Si je suis inquiet(e) pour ma mémoire, mon médecin peut me faire passer quelques tests rapides.

OU

Les vaccins sont importants chez les enfants, mais ne sont plus nécessaires quand on est âgé(e).

OU

Je vois un cardiologue, un rhumatologue, un pneumologue (et peut-être d’autres encore) : le rôle de mon médecin traitant reste très important.

OU

Après une hospitalisation, il est recommandé d’aller rapidement revoir son médecin traitant.

OU

Bravo, vous avez raison !

Cette bonne santé, si on a la chance de l’avoir, est un bien précieux, il faut en prendre soin pour la conserver longtemps. Les visites régulières chez son médecin permettent parfois de dépister à temps des problèmes de santé « invisibles », pour lesquels on ne ressent aucun symptôme. Cela permet donc de les traiter avant que des complications ne surviennent. Le vieillissement se prépare, mettons toutes les chances de notre côté pour réussir au mieux ce parcours dans lequelle le médecin traitant est un interlocuteur essentiel.

Et non, c’est faux !

Cette bonne santé, si on a la chance de l’avoir, est un bien précieux, il faut en prendre soin pour la conserver longtemps. Les visites régulières chez son médecin permettent parfois de dépister à temps des problèmes de santé « invisibles », pour lesquels on ne ressent aucun symptôme. Cela permet donc de les traiter avant que des complications ne surviennent. Le vieillissement se prépare, mettons toutes les chances de notre côté pour réussir au mieux ce parcours dans lequelle le médecin traitant est un interlocuteur essentiel.

Bravo, vous avez raison !

À tout âge, la prévention est possible et son efficacité a pu être scientifiquement démontrée dans certains domaines :la prévention par l’exercice physique pour lutter contre les maladies cardiovasculaires, le diabète, la dépression et l’anxiété, même à des âges très avancés. Autre exemple : l’arrêt du tabac. Arrêter de fumer a des effets bénéfiques importants et immédiats à tout âge et une étude a montré que l’arrêt du tabac entre 70 et 80 ans diminue la mortalité de 27 %.

Et non, c’est faux !

À tout âge, la prévention est possible et son efficacité a pu être scientifiquement démontrée dans certains domaines :la prévention par l’exercice physique pour lutter contre les maladies cardiovasculaires, le diabète, la dépression et l’anxiété, même à des âges très avancés. Autre exemple : l’arrêt du tabac. Arrêter de fumer a des effets bénéfiques importants et immédiats à tout âge et une étude a montré que l’arrêt du tabac entre 70 et 80 ans diminue la mortalité de 27 %.

Bravo, vous avez raison !

En surveillant le poids de ses patients régulièrement, le médecin s’assure qu’ils n’ont pas maigri. Un amaigrissement pourrait indiquer qu’il existe une dénutrition, problème fréquent chez les sujets vieillissants. Et attention ! les personnes en surpoids ou obèses peuvent être dénutries. Le poids n’est pas le seul critère pour diagnostiquer la dénutrition.

Et non, c’est vrai !

En surveillant le poids de ses patients régulièrement, le médecin s’assure qu’ils n’ont pas maigri. Un amaigrissement pourrait indiquer qu’il existe une dénutrition, problème fréquent chez les sujets vieillissants. Et attention ! les personnes en surpoids ou obèses peuvent être dénutries. Le poids n’est pas le seul critère pour diagnostiquer la dénutrition.

Bravo, vous avez raison !

Avec l’âge, le sommeil, comme d’autres aspects de la santé, change : il devient plus léger, s’endormir prend plus de temps sans qu’il ne s’agisse d’insomnie et il arrive couramment de se réveiller plusieurs fois dans la nuit. Cela peut donner la sensation d’un sommeil moins satisfaisant et moins récupérateur. En parallèle, nos habitudes de vie changent aussi : on se couche plus tôt, les activités diminuent et l’activité physique est moins intense, ce qui peut avoir un effet sur le sommeil. Le recours aux médicaments pour dormir n’est pas nécessaire dans bien des cas et une adaptation du rythme de vie pourra permettre une amélioration du sommeil. En parler avec son médecin est important pour savoir comment améliorer les choses, car avant de penser à un traitement, des règles d’hygiène de vie peuvent être de bonnes solutions.

Et non, c’est faux !

Avec l’âge, le sommeil, comme d’autres aspects de la santé, change : il devient plus léger, s’endormir prend plus de temps sans qu’il ne s’agisse d’insomnie et il arrive couramment de se réveiller plusieurs fois dans la nuit. Cela peut donner la sensation d’un sommeil moins satisfaisant et moins récupérateur. En parallèle, nos habitudes de vie changent aussi : on se couche plus tôt, les activités diminuent et l’activité physique est moins intense, ce qui peut avoir un effet sur le sommeil. Le recours aux médicaments pour dormir n’est pas nécessaire dans bien des cas et une adaptation du rythme de vie pourra permettre une amélioration du sommeil. En parler avec son médecin est important pour savoir comment améliorer les choses, car avant de penser à un traitement, des règles d’hygiène de vie peuvent être de bonnes solutions.

Bravo, vous avez raison !

Les bilans sanguins sont nécessaires quel que soit l’âge. Ils sont utiles pour déterminer l’existence de maladies et établir des diagnostics, mais également pour repérer des signes biologiques qui pourraient en faire craindre d’autres, ce que l’on appelle des facteurs de risques. En vieillissant, certains facteurs de risque augmentent. Il est donc important de faire périodiquement un bilan sanguin. Un bilan peut être fait tous les ans en fonction des pathologies ou des facteurs de risques cardiovasculaires : c’est le médecin traitant qui décidera.

Et non, c’est vrai !

Les bilans sanguins sont nécessaires quel que soit l’âge. Ils sont utiles pour déterminer l’existence de maladies et établir des diagnostics, mais également pour repérer des signes biologiques qui pourraient en faire craindre d’autres, ce que l’on appelle des facteurs de risques. En vieillissant, certains facteurs de risque augmentent. Il est donc important de faire périodiquement un bilan sanguin. Un bilan peut être fait tous les ans en fonction des pathologies ou des facteurs de risques cardiovasculaires : c’est le médecin traitant qui décidera.

Bravo, vous avez raison !

Quel que soit l’âge, pratiquer une activité physique est essentiel. Depuis plusieurs années, les études scientifiques ont démontré les nombreux bénéfices de l’activité physique, en particulier sur la santé et la longévité des personnes. Meilleure arme antichute, l’activité physique apporte de nombreux bénéfices, avec des effets positifs sur le sommeil, la mémoire et l’apparition de certaines maladies. L’âge, même avancé, n’est pas une contre-indication, puisque l’exercice physique que recommande le médecin est adapté : il tient compte de la force musculaire de la personne et de son équilibre.

Et non, c’est vrai !

Quel que soit l’âge, pratiquer une activité physique est essentiel. Depuis plusieurs années, les études scientifiques ont démontré les nombreux bénéfices de l’activité physique, en particulier sur la santé et la longévité des personnes. Meilleure arme antichute, l’activité physique apporte de nombreux bénéfices, avec des effets positifs sur le sommeil, la mémoire et l’apparition de certaines maladies. L’âge, même avancé, n’est pas une contre-indication, puisque l’exercice physique que recommande le médecin est adapté : il tient compte de la force musculaire de la personne et de son équilibre.

Bravo, vous avez raison !

À tout âge, il faut éviter l’automédication, car des erreurs peuvent avoir des conséquences très graves. Il faut toujours demander l’avis de son pharmacien et de son médecin pour savoir s’il est possible de prendre certains médicaments et dans quelles circonstances. L’automédication, qui consiste à acheter directement des médicaments (ou même des compléments alimentaires) sans avis d’un professionnel de santé est à proscrire. En vieillissant, il est courant de prendre davantage de médicaments et le risque d’interactions entre ces médicaments est donc plus grand. En ajouter, en supprimer ou en changer certains de sa propre initiative, sans avis médical, peut conduire à une aggravation de la situation.

Et non, c’est faux !

À tout âge, il faut éviter l’automédication, car des erreurs peuvent avoir des conséquences très graves. Il faut toujours demander l’avis de son pharmacien et de son médecin pour savoir s’il est possible de prendre certains médicaments et dans quelles circonstances. L’automédication, qui consiste à acheter directement des médicaments (ou même des compléments alimentaires) sans avis d’un professionnel de santé est à proscrire. En vieillissant, il est courant de prendre davantage de médicaments et le risque d’interactions entre ces médicaments est donc plus grand. En ajouter, en supprimer ou en changer certains de sa propre initiative, sans avis médical, peut conduire à une aggravation de la situation.

Bravo, vous avez raison !

Garder une bonne mémoire tout au long de la vie est essentiel. Par des tests rapides et simples, on peut détecter s’il existe des difficultés. Ces tests sont de vrais outils scientifiques et n’ont rien à voir avec les « tests » que l’on peut trouver dans les magazines. Ils explorent plusieurs fonctions cognitives comme la mémoire, l’attention et la concentration. S’ils peuvent avoir l’air très simples et même un peu scolaires, ils ne sont pas sans certaines difficultés et votre médecin saura en interpréter les résultats.

Et non, c’est vrai !

Garder une bonne mémoire tout au long de la vie est essentiel. Par des tests rapides et simples, on peut détecter s’il existe des difficultés. Ces tests sont de vrais outils scientifiques et n’ont rien à voir avec les « tests » que l’on peut trouver dans les magazines. Ils explorent plusieurs fonctions cognitives comme la mémoire, l’attention et la concentration. S’ils peuvent avoir l’air très simples et même un peu scolaires, ils ne sont pas sans certaines difficultés et votre médecin saura en interpréter les résultats.

Bravo, vous avez raison !

Même âgé(e), il est essentiel d’être à jour de ses vaccins. Au cours de la vie, il y a deux périodes clés pour la vaccination : l’enfance et la vieillesse. C’est à ces deux périodes que le risque infectieux est le plus important et le risque d’infections graves augmente avec l’âge. Il est donc primordial de continuer de se faire vacciner et faire les rappels aux intervalles recommandés tout au long de la vie. Après 65 ans, il est recommandé de se vacciner contre le tétanos, la diphtérie, la poliomyélite, la grippe saisonnière, le zona et dans certaines situations contre le pneumocoque, la coqueluche et l’hépatite A.

Et non, c’est faux !

Même âgé(e), il est essentiel d’être à jour de ses vaccins. Au cours de la vie, il y a deux périodes clés pour la vaccination : l’enfance et la vieillesse. C’est à ces deux périodes que le risque infectieux est le plus important et le risque d’infections graves augmente avec l’âge. Il est donc primordial de continuer de se faire vacciner et faire les rappels aux intervalles recommandés tout au long de la vie. Après 65 ans, il est recommandé de se vacciner contre le tétanos, la diphtérie, la poliomyélite, la grippe saisonnière, le zona et dans certaines situations contre le pneumocoque, la coqueluche et l’hépatite A.

Bravo, vous avez raison !

Avec l’âge, il est fréquent d’être suivi par des spécialistes pour différents problèmes de santé. Chacun prescrit des traitements et il est courant d’avoir de multiples ordonnances et de nombreux médicaments. De plus, ces différents spécialistes ne savent pas toujours qui leurs patients consultent et le risque de traitements en double et d’interactions médicamenteuses est grand. Comme en musique, la santé nécessite la présence d’un chef d’orchestre : le médecin traitant. Il a un rôle central de coordination et il est essentiel de l’informer et de bien tout lui transmettre (consultations, traitements, résultats d’examens...)

Et non, c’est vrai !

Avec l’âge, il est fréquent d’être suivi par des spécialistes pour différents problèmes de santé. Chacun prescrit des traitements et il est courant d’avoir de multiples ordonnances et de nombreux médicaments. De plus, ces différents spécialistes ne savent pas toujours qui leurs patients consultent et le risque de traitements en double et d’interactions médicamenteuses est grand. Comme en musique, la santé nécessite la présence d’un chef d’orchestre : le médecin traitant. Il a un rôle central de coordination et il est essentiel de l’informer et de bien tout lui transmettre (consultations, traitements, résultats d’examens...)

Bravo, vous avez raison !

Après un séjour à l’hôpital, un compte-rendu détaillé des examens et interventions qui ont eu lieu est envoyé au médecin traitant de chaque patient. Il y est également indiqué tout changement dans le traitement habituel et les nouveaux médicaments. C’est donc le moment de faire le point, d’ajuster les thérapeutiques et les prises en charge et d’envisager leur évolution. Le médecin traitant est ainsi chargé d’assurer la continuité des soins pour ses patients.

Et non, c’est vrai !

Après un séjour à l’hôpital, un compte-rendu détaillé des examens et interventions qui ont eu lieu est envoyé au médecin traitant de chaque patient. Il y est également indiqué tout changement dans le traitement habituel et les nouveaux médicaments. C’est donc le moment de faire le point, d’ajuster les thérapeutiques et les prises en charge et d’envisager leur évolution. Le médecin traitant est ainsi chargé d’assurer la continuité des soins pour ses patients.