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Un logement adapté est un logement sûr, propre et confortable.

OU

Vers 60 ans, c’est le bon âge pour repenser à la disposition et l’organisation des meubles et des objets.

OU

En faisant évoluer mon logement, je diminue le risque de chute.

OU

J’ai bien le temps pour réaliser les changements auxquels je pense ; je pourrai les faire au dernier moment.

OU

En tant que locataire, je n’ai pas le droit d’effectuer des travaux d’adaptation.

OU

L’ergothérapeute est le professionnel de référence pour accompagner les personnes vieillissantes dans les démarches d’adaptation de logement.

OU

Toutes les pièces de la maison sont à aménager en même temps.

OU

Toutes les pièces ont forcément besoin de travaux.

OU

Je n’ai pas les moyens financiers suffisants, donc je ne peux pas adapter mon logement.

OU

Le choix de vivre dans un habitat partagé et inséré dans la ville est une bonne façon de rester « chez soi » en toute sécurité.

OU

Il y a un lien entre l’hygiène de vie et la sécurité à la maison.

OU

Je vis dans un logement HLM. Je n’ai pas les mêmes droits que les autres pour faire des travaux d’aménagements.

OU

Bravo, vous avez raison !

Ceci est vrai à tout âge. Et avec le vieillissement et la fragilité qui l’accompagne parfois, il est important de repenser le lieu de vie pour qu’il évolue avec les besoins et les envies des personnes qui y vivent. Cela permet de diminuer le risque de survenue d’accidents domestiques, notammentles chutes, qui sont la principale cause de mortalité accidentelle des personnes âgées et d’hospitalisation. Pour cela, des interventions sont nécessaires pour rendre le logement plus confortable, convivial et sécurisant. L’environnement dans lequel on vit depuis parfois plusieurs décennies peut devenir une source de difficultés pour réaliser des activités importantes pour la personne. Le cadre de vie doit naturellement évoluer avec les attentes et besoins de son occupant. Certaines astuces simples peuvent faciliter la vie des personnes et les aider à vivre le plus longtemps possible chez elles.

Et non, c’est vrai !

Ceci est vrai à tout âge. Et avec le vieillissement et la fragilité qui l’accompagne parfois, il est important de repenser le lieu de vie pour qu’il évolue avec les besoins et les envies des personnes qui y vivent. Cela permet de diminuer le risque de survenue d’accidents domestiques, notammentles chutes, qui sont la principale cause de mortalité accidentelle des personnes âgées et d’hospitalisation. Pour cela, des interventions sont nécessaires pour rendre le logement plus confortable, convivial et sécurisant. L’environnement dans lequel on vit depuis parfois plusieurs décennies peut devenir une source de difficultés pour réaliser des activités importantes pour la personne. Le cadre de vie doit naturellement évoluer avec les attentes et besoins de son occupant. Certaines astuces simples peuvent faciliter la vie des personnes et les aider à vivre le plus longtemps possible chez elles.

Bravo, vous avez raison !

Dans l’idéal, il faudrait faire évoluer en continu l’organisation de son domicile, tout au long de la vie et de ses changements. Il n’y a pas d’âge précis pour y penser, chacun vieillit à sa façon et à son propre rythme. Pourtant, en vieillissant, on apprécie de moins en moins les changements et chacun aura tendance à repousser et remettre les transformations à plus tard. Attention, le temps passe vite, il est bon de ne pas trop tarder !

Et non, c’est vrai !

Dans l’idéal, il faudrait faire évoluer en continu l’organisation de son domicile, tout au long de la vie et de ses changements. Il n’y a pas d’âge précis pour y penser, chacun vieillit à sa façon et à son propre rythme. Pourtant, en vieillissant, on apprécie de moins en moins les changements et chacun aura tendance à repousser et remettre les transformations à plus tard. Attention, le temps passe vite, il est bon de ne pas trop tarder !

Bravo, vous avez raison !

La chute est la première cause de mortalité accidentelle chez les seniors.60 % d’entre elles ont lieu à l’intérieur du domicile et 48 % aux abords du foyer (cour, jardin, garage). Les chutes à domicile peuvent être anticipées grâce à la création d’un environnement sûr chez soi, comme par exemple, fixer les tapis au sol. Ces aménagements doivent ainsi favoriser la mobilité qui est nécessaire au bien vieillir !

Et non, c’est vrai !

La chute est la première cause de mortalité accidentelle chez les seniors.60 % d’entre elles ont lieu à l’intérieur du domicile et 48 % aux abords du foyer (cour, jardin, garage). Les chutes à domicile peuvent être anticipées grâce à la création d’un environnement sûr chez soi, comme par exemple, fixer les tapis au sol. Ces aménagements doivent ainsi favoriser la mobilité qui est nécessaire au bien vieillir !

Bravo, vous avez raison !

Attendre trop pour commencer à faire évoluer son logement n’est pas une bonne idée. En effet, certains changements nécessitent du temps. Entre les demandes de financements et la réalisation de devis, le processus est long : il est courant qu’un projet d’adaptation demande entre 6 et 12 mois pour aboutir. Il est donc recommandé de ne pas attendre et de lancer les démarches dès que l’on y pense.

Et non, c’est faux !

Attendre trop pour commencer à faire évoluer son logement n’est pas une bonne idée. En effet, certains changements nécessitent du temps. Entre les demandes de financements et la réalisation de devis, le processus est long : il est courant qu’un projet d’adaptation demande entre 6 et 12 mois pour aboutir. Il est donc recommandé de ne pas attendre et de lancer les démarches dès que l’on y pense.

Bravo, vous avez raison !

En France, une personne âgée sur quatre est locataire. Pour pouvoir rester chez soi le plus longtemps possible et dans les meilleures conditions physiques, matérielles et sociales, les personnes qui vieillissent doivent pouvoir réaliser des travaux pour faire évoluer leur cadre de vie en fonction de leurs besoins, qu’elles soient locataires ou propriétaires. Pour les logements sociaux, les bailleurs accompagnent de plus en plus la démarche pour adapter et rendre accessibles leurs logements. Il faut donc les solliciter directement.

Et non, c’est faux !

En France, une personne âgée sur quatre est locataire. Pour pouvoir rester chez soi le plus longtemps possible et dans les meilleures conditions physiques, matérielles et sociales, les personnes qui vieillissent doivent pouvoir réaliser des travaux pour faire évoluer leur cadre de vie en fonction de leurs besoins, qu’elles soient locataires ou propriétaires. Pour les logements sociaux, les bailleurs accompagnent de plus en plus la démarche pour adapter et rendre accessibles leurs logements. Il faut donc les solliciter directement.

Bravo, vous avez raison !

Les démarches d’adaptation d’un logement peuvent être longues. Pour les réaliser, l’accompagnement d’un ergothérapeute est l’idéal. Il viendra au domicile évaluer la situation et proposer des adaptations qui ne nécessitent pas toujours d’engager des travaux.

Et non, c’est vrai !

Les démarches d’adaptation d’un logement peuvent être longues. Pour les réaliser, l’accompagnement d’un ergothérapeute est l’idéal. Il viendra au domicile évaluer la situation et proposer des adaptations qui ne nécessitent pas toujours d’engager des travaux.

Bravo, vous avez raison !

Toutes les pièces ne présentent pas le même degré de dangerosité et certaines évolutions sont à envisager en priorité. Elles ne nécessitent pas toutes des travaux. Dans l’ensemble de la maison, la première chose à faire est d’éliminer les obstacles inutiles. Il est important de faciliter les déplacements et les accès aux fenêtres, aux portes et aux objets du quotidien. C’est dans la chambre que les chutes sont les plus fréquentes selon l’étude ChuPADom. Il s’agira, dans cette pièce, surtout de questions de disposition de mobilier et d’éclairage pour les déplacements nocturnes. Pourtant, en général, on considère que l’aménagement de la salle de bain est prioritaire. La cuisine, les escaliers et le salon sont les autres endroits à considérer dans la foulée.

Et non, c’est faux !

Toutes les pièces ne présentent pas le même degré de dangerosité et certaines évolutions sont à envisager en priorité. Elles ne nécessitent pas toutes des travaux. Dans l’ensemble de la maison, la première chose à faire est d’éliminer les obstacles inutiles. Il est important de faciliter les déplacements et les accès aux fenêtres, aux portes et aux objets du quotidien. C’est dans la chambre que les chutes sont les plus fréquentes selon l’étude ChuPADom. Il s’agira, dans cette pièce, surtout de questions de disposition de mobilier et d’éclairage pour les déplacements nocturnes. Pourtant, en général, on considère que l’aménagement de la salle de bain est prioritaire. La cuisine, les escaliers et le salon sont les autres endroits à considérer dans la foulée.

Bravo, vous avez raison !

Toutes les pièces doivent évoluer et être repensées et, si besoin, aménagées. Mais quelques astuces et gestes simples peuvent être mis en œuvre, sans nécessiter forcément des travaux lourds ou compliqués. L’ergothérapeute pourra aider la personne à définir les priorités.

Et non, c’est faux !

Toutes les pièces doivent évoluer et être repensées et, si besoin, aménagées. Mais quelques astuces et gestes simples peuvent être mis en œuvre, sans nécessiter forcément des travaux lourds ou compliqués. L’ergothérapeute pourra aider la personne à définir les priorités.

Bravo, vous avez raison !

Que vous soyez propriétaire ou locataire, il existe de nombreux dispositifs d’aide auprès desquels il est possible de déposer un dossier de demande de subvention. Les conditions et les montants de prise en charge varient en fonction des organismes et des revenus du demandeur qui peut bénéficier d’aides concrètes, d’une réduction du reste charge à payer et d’un crédit d’impôts. Un travailleur social présent dans votre CCAS, CLIC, DAC, caisse de retraite, chez Merci Julie, SOLIHA, etc. pourra vous accompagner et évaluer les possibilités de financements et votre reste à charge. Le futur dispositif « Ma Prime Adapt’ » facilitera l’accès à ces différentes aides avec la création d’un interlocuteur unique.

Et non, c’est faux !

Que vous soyez propriétaire ou locataire, il existe de nombreux dispositifs d’aide auprès desquels il est possible de déposer un dossier de demande de subvention. Les conditions et les montants de prise en charge varient en fonction des organismes et des revenus du demandeur qui peut bénéficier d’aides concrètes, d’une réduction du reste charge à payer et d’un crédit d’impôts. Un travailleur social présent dans votre CCAS, CLIC, DAC, caisse de retraite, chez Merci Julie, SOLIHA, etc. pourra vous accompagner et évaluer les possibilités de financements et votre reste à charge. Le futur dispositif « Ma Prime Adapt’ » facilitera l’accès à ces différentes aides avec la création d’un interlocuteur unique.

Bravo, vous avez raison !

On parle aujourd’hui beaucoup d’habitat « inclusif » : il s’agit de logements ordinaires destinés aux personnes âgées et/ou en perte d’autonomie, dans un environnement partagé, sécurisé, aménagé et conçu pour apporter l’accompagnement souhaité ou nécessaire. C’est un concept proche de celui de la colocation, où les personnes font le choix d’une nouvelle résidence principale partagée avec d’autres personnes (âgées ou non). Le logement et l’accompagnement doivent permettre d’être « chez soi », tout en étant sécurisé et entouré.

Et non, c’est vrai !

On parle aujourd’hui beaucoup d’habitat « inclusif » : il s’agit de logements ordinaires destinés aux personnes âgées et/ou en perte d’autonomie, dans un environnement partagé, sécurisé, aménagé et conçu pour apporter l’accompagnement souhaité ou nécessaire. C’est un concept proche de celui de la colocation, où les personnes font le choix d’une nouvelle résidence principale partagée avec d’autres personnes (âgées ou non). Le logement et l’accompagnement doivent permettre d’être « chez soi », tout en étant sécurisé et entouré.

Bravo, vous avez raison !

Vieillir chez soi en toute sécurité implique l’évolution de l’environnement, du comportement et du style de vie en les adaptant aux différents changements qui surviennent avec l’âge. Les bonnes habitudes alimentaires et une vie physique active améliorent les performances des muscles et donc la force sur les jambes, facilitant les déplacements et réduisant considérablement le risque de chuter ou de se blesser. Effectuer des aménagements dans son logement peut être important mais reste complémentaire du maintien de la force musculaire et de l’énergie de la personne.

Et non, c’est vrai !

Vieillir chez soi en toute sécurité implique l’évolution de l’environnement, du comportement et du style de vie en les adaptant aux différents changements qui surviennent avec l’âge. Les bonnes habitudes alimentaires et une vie physique active améliorent les performances des muscles et donc la force sur les jambes, facilitant les déplacements et réduisant considérablement le risque de chuter ou de se blesser. Effectuer des aménagements dans son logement peut être important mais reste complémentaire du maintien de la force musculaire et de l’énergie de la personne.

Bravo, vous avez raison !

De plus en plus de bailleurs sociaux s’engagent dans des démarches d’accompagnement de leurs locataires en situation de fragilité ou perte de mobilité. Cependant, chacun peut établir des critères qui vont répondre plus ou moins à la demande initiale de la personne. Le bailleur social a une obligation de répondre au besoin, mais n’a pas l’obligation de réaliser les aménagements du logement. Il peut parfois refuser des travaux d’adaptation d’un appartement à l’étage avec absence d’ascenseur. Il peut alors proposer une mutation de logement à l’intérieur de son parc avec les changements que cela induit (changement d’environnement, préparer un déménagement, appartement plus petit, etc.).

Et non, c’est faux !

De plus en plus de bailleurs sociaux s’engagent dans des démarches d’accompagnement de leurs locataires en situation de fragilité ou perte de mobilité. Cependant, chacun peut établir des critères qui vont répondre plus ou moins à la demande initiale de la personne. Le bailleur social a une obligation de répondre au besoin, mais n’a pas l’obligation de réaliser les aménagements du logement. Il peut parfois refuser des travaux d’adaptation d’un appartement à l’étage avec absence d’ascenseur. Il peut alors proposer une mutation de logement à l’intérieur de son parc avec les changements que cela induit (changement d’environnement, préparer un déménagement, appartement plus petit, etc.).